C’était il y a 10 ans.
Je possédais tout ce dont j’avais rêvé et tout ce qu’un homme de 50 ans alors pouvait espérer dans sa vie :
Deux jolies filles jumelles, une entreprise qui fonctionnait bien, des voyages à travers le monde : donc une belle réussite…
Mais j’étais malheureux au fond de moi, mal dans ma peau au point de ne plus avoir goût à rien.
Je me suis rendu compte que je ne travaillais pas pour vivre, mais que je vivais pour travailler…
Un jour, le 3 mars 2013, je me suis retrouvé complètement bloqué, alité, ne pouvant plus dormir ni m’alimenter et j’avais perdu 12 kilos à cause du stress. Hospitalisé d’urgence, le verdict était tombé : burnout violent et dépression mélancolique. La mélancolie est le stade le plus avancé de la dépression, le mot mélancolie signifiant « bile noire » en grec.
Croulant sous une fatigue intense, avalant 14 cachets par jour et errant comme un zombie, j’ai appris alors, grâce à des soignants bienveillants à comprendre, écouter et analyser tous les signes de cette mélancolie que mon corps m’envoyait alors et que je n’avais pas voulu écouter.
Je me suis rendu compte que j’avais créé tout çà pour une seule raison : être reconnu et aimé.
C’est ainsi, que profitant d’un long arrêt maladie, j’ai commencé à écrire mon premier livre, un cri du cœur qui s’intitulait : « Ô Larmes Citoyens ! ».
J’ai alors réalisé que j’avais passé ma vie à brasser des chiffres alors que j’étais un homme de lettres et que ce conflit intérieur me torturait depuis des années, m’empêchant d’être aligné avec mes propres envies et mes propres valeurs.
Et c’est aussi à ce moment-là que j’ai pensé à la mort : Pourquoi seulement exister alors que la vraie raison d’exister normalement est de vivre ? J’étais alors au bout de ma vie, exsangue, épuisé, fatigué de tout.
C’est ainsi qu’en rédigeant mon 1er livre « Ô larmes Citoyens ! » j’ai réalisé que j’avais commencé à entamer le début de ma mission ici-bas : ÉCRIRE.
Ensuite, le temps a passé où je m’obstinais à vouloir continuer sur la voie de la finance et de l’immobilier qui me nourrissaient et me valorisaient depuis tant d’années de travail indépendant.
2019 : 2ème burnout mais moins violent cette fois-ci car je connaissais désormais les raisons de mon épuisement au travail.
2020 : pendant la pandémie et profitant du confinement, j’ai travaillé d’arrache-pied sur l’obtention de ma certification RNCP en coaching et consulting : victoire, à 56 ans, j’avais réussi à obtenir mon Master 2, bac + 5 !
Mais il m’aura fallu encore 3 ans, en juin 2023, pour prendre conscience que je pouvais mettre en adéquation mes compétences de Coach professionnel avec ma passion de l’écriture. Et là, j’ai réalisé la 2ème partie de ma mission de vie : écrire pour les autres prenait enfin sens pour moi.
Mais en donnant à cette mission une dimension humaine, à haute valeur ajoutée : permettre à mon prochain de faire face à la peur ultime de l’être humain, bien plus profonde que celle de la mort : la peur d’être OUBLIÉ.
On se souvient généralement de nos parents et de nos grands-parents. Mais qui se souvient de ses arrières grands parents et de ses autres aïeux ?
Cela signifie que, une fois passée la période de deuil, le temps fait son office quoiqu’il advienne et que petit à petit, chemin faisant, un jour ou l’autre, génération après génération, nous tomberons dans l’oubli … sauf à une condition, celle d’avoir laissé derrière soi une trace écrite : livre, récit de vie, mémoires, roman, nouvelles, peu importe. Tout le monde connait Victor Hugo, Marcel Proust ou Arthur Rimbaud et pourtant nous ne les avons jamais rencontrés et ils sont morts depuis bien longtemps !
Donc quelque soit le contenu de nos ouvrages, laisser une trace indélébile derrière soi demeure le seul et unique moyen de ne pas sombrer dans les limbes de l’oubli …
J’ai bientôt 60 ans et cela fait 40 ans que je travaille. Je ne vais donc pas me fourvoyer pour vous vendre quelque chose que vous n’avez pas envie d’acheter. Je n’en suis plus là et si vous ne souhaitez pas léguer de patrimoine mémoriel à vos proches, c’est très bien ainsi.
Mais je m’adresse à celles et ceux qui expriment une volonté claire et farouche de raconter leur vie, transmettre leurs émotions positives comme négatives et co-écrire ce livre qui leur tient tant à cœur et qui leur permettra de traverser le temps et de donner à ceux qu’ils aiment un témoignage de leur affection et de leur parcours de vie.
Si c’est votre cas, vous pouvez consulter la page VOTRE PROJET pour en savoir + sur mes prestations ou bien vous pouvez ME CONTACTER directement pour me partager votre projet.
C’est ainsi que je viens de finaliser, avec mon premier client, son récit de vie qui est l’aboutissement d’un long cheminement sur lui-même. Dans peu de temps, vous aurez l’occasion si vous le souhaitez d’écouter son témoignage sur ces 6 mois que nous avons passés ensemble à écrire cette magnifique page de son histoire personnelle, familiale et professionnelle. Il vous dira mieux que moi la puissance de cette aventure humaine …
Si vous aussi, vous ressentez ce besoin impérieux de vous raconter ou pourquoi pas de participer à rédiger l’histoire d’un parent, d’un grand parent ou d’un ami et de laisser cette trace indélébile de son passage sur terre, si vous aussi vous avez vraiment envie de tenir ce livre entre vos mains d’ici 180 jours, alors cliquez sur ce lien ci-dessous et rencontrons-nous pour en parler ensemble, autour d’un café virtuel en CLIQUANT ICI : https://calendly.com/flc-silvercoaching/comment-transformer-votre-recit-de-vie-en-un-roman-passionnant
Mon slogan est simple, « Avec Ô Fil des Mots, vos mots ont la parole » : à vous maintenant de leur donner vie.
A très vite !
Franck
